Mon étrangère

Mon étrangère, deuxième album du chanteur Valentin Vander.

15,00

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Description

Dans ce nouveau chapitre, Valentin Vander use d’armes de séduction massive et entre espièglerie, profondeur et constat éclairé sur les relations sentimentales qui lient les êtres, il insuffle à ce deuxième album une couleur mélodique qui capte dès la première écoute. On trouve alors, au gré des chansons qui jalonnent l’album, ce petit quelque chose d’unique dans sa personnalité joliment désabusée qui n’oublie jamais d’opter pour la dérision. Ici, les émotions priment et semblent inédites, comme si la mélancolie avait embrassé une forme de légèreté.

Il creuse le sillon d’une chanson pop racée à l’élégance discrète tout au long de dix plages qui racontent les atermoiements de l’amour, subtilement éclairés du halo des enjeux de notre temps. La fidélité, l’exclusivité, le caractère aléatoire des désirs : il caresse à chaque mesure l’espoir de trouver une réponse. Bien sûr, elle ne pointe jamais le bout de son nez. Alors Valentin Vander émet ses hypothèses avec douceur souvent, avec ironie parfois. La palette du chanteur se teinte ici d’humour et d’une lucidité malicieuse, et sans jamais céder au pathos ni au pessimisme, il dodeline autour de nos émotions les plus enfouies et transforme ses mélodies crève cœurs en joie pure sur des chansons qui semblent avoir toujours existé.

Réalisé par Nicolas Gueguen, Mon Étrangère s’est fabriqué au studio 129H dans le quartier de Ménilmontant. Leur collaboration s’est faite sur plusieurs mois, privilégiant le temps long aux injonctions de spontanéité que nous assène sans cesse notre époque. A cet égard mais à bien d’autres également, Valentin Vander est un artiste hors-temps, qui se joue des codes de la chanson française traditionnelle en l’habillant de mille tissus pop et d’ornements électroniques. Au final, cette étrangère devient très vite familière. Et c’est bien ce que l’on espère d’un recueil de chansons.